• Amour, sexe et couche-culotte...

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    - Lichan, où es-tu?
    - Non! Non Camille, ne touche pas à ça!
    - Raaah, Slimani arrête de courir dans la maison! Tu vas finir par casser quelque chose ou par te faire mal!
    Les trois bambins de respectivement quatre, six et sept ans couraient un peu partout dans le salon au plus grand dam de leurs parents, à moitiés habillés et riant aux éclats de leurs bêtises.
    Excédé de voir son fils sauter dans tous les sens avec son slip Spiderman sur la tête, Frédéric zippa rapidement la fermeture Eclair de Camille, puis se dépêcha de courir après Slimani pour l’attraper par la peau du cou pour l’habiller correctement.
    Jetant un coup d’œil à l’horloge du salon, il appela son compagnon:
    - Phil! Grouille-toi ou les petits et moi allons encore être en retard!
    - Oui, oui, deux secondes, je prépare les goûters!
    - Ouais d’accord.
    Une fois qu’il eut terminé de remettre les vêtements de son fils à leur juste place, Frédéric parcouru la pièce du regard à la recherche de sa fille, et lorsqu’il la repéra qui se tenait non loin du canapé, son regard s’adoucit immédiatement.
    Tranquillement assise au milieu du chaos de ses frères et la bouche ouverte sur un « O » étonné, Lichan suivait de ses grands yeux curieux le vol d’un petit papillon égaré. Appréciant le contraste qu’opposait sa fille à ses fils, Frédéric soupira. Décidément, les filles étaient bien plus sages que les garçons!
    Il se redressait pour aller la prendre dans ses bras lorsque Phil surgit à cet instant hors de la cuisine avec un sac-à-dos et deux cartables, les traits tirés par la fatigue mais un petit sourire étirant ses lèvres pâles.
    Il enfila les cartables aux dos de Camille et de Slimani, puis le sac-à-dos à celui de Lichan.
    - Allez les gosses, maintenant dites au revoir à Papa!
    La marmaille se jeta sur lui, et Phil fut bientôt engloutit sous la pluie de baisers et d’exclamations juvéniles.
    Il les prit tour à tour dans ses bras, heureux de les sentir contre lui chaque matin. Il les aurait d’ailleurs bien gardés entre ses bras, si le regard courroucé de Frédéric ne l’avait pas pressé de les relâcher.
    - Phil…
    - D’accord, d’accord! C’est bon, maintenant allez-y sinon P’pa va se fâcher!
    - Oui papa!
    - A s’soir papa!
    Les garçons, tout sourires, s’éloignaient déjà de Phil, mais le départ se compliqua lorsque Lichan refusa de le lâcher.
    - Non! ‘Veux pas!
    - Lichan, ce n’est pas le moment d’accord?
    - Nan! Veux rester ici avec papa!
    Son cri strident et ses pleurs échauffèrent le sang de Frédéric qui ne fit qu’un tour.
    Renonçant à se calmer, il emporta sa fille dans ses bras, l’arrachant à l’éteinte de son compagnon.
    - Naaaaaaaan!!!
    - Lichan ça suffit! Ce n’est pas le moment de faire ta crise! Les garçons on y va!
    Tentant de maintenir la petite furie qui se débattait entre ses bras, Frédéric poussa la porte d’entrée et après un dernier regard excédé vers son amant, sorti de la maison.
     
    - Ca ne peut plus durer Phil! Je suis à bout! Non! Nous sommes à bout!
    - Oui, je sais…Mais que veux-tu y faire? Nous sommes parents ! Nous ne pouvons pas espérer avoir du temps libre comme lorsque nous étions un jeune couple!
    Il n’était pas loin de vingt-deux heures, et les enfants avaient déjà dîné, été baignés et dormaient à présent à point fermé.
    Epuisés par leurs journées respectives, Frédéric et Phil tentaient de se reposer dans la baignoire en partageant un bain brûlant. Mais si leurs corps étaient détendus, il n’en était de même pour leurs esprits survoltés.
    Pris d’un soudain élan de tendresse, Phil colla son torse contre le dos de son compagnon et l’enlaça, appréciant le contact de leurs peaux humides l’une contre l’autre. Envahit par la douceur de l’instant et la chaleur du bain, il enfouit son visage au creux de son cou et le huma avec délice.
    Surpris d’une telle démonstration d’affection, Frédéric sourit.
    - Tu es bien très câlin ce soir, qu’est-ce qui t’arrives?
    Phil gémit de plaisir, cela faisait longtemps qu’il ne s’était pas senti aussi bien, et la tête lui tournait un peu.
    - Mmm, rien de particulier, pourquoi devrais-je avoir une raison pour avoir envie de te serrer contre moi? Je me sens bien collé à toi de cette façon, ça me rappelle nos jeunes années, lorsqu’on vivait encore dans notre minuscule studio… Tu te souviens? Le placard…
    Frédéric se mit à rire.
    - Oui! Le placard à balais! Tout le monde avait fini par l’appeler comme ça après la pendaison de crémaillère!
    - Oui, de bons souvenirs n’est-ce pas?
    - Des souvenirs qui remontent à tellement loin… J’ai l’impression qu’ils viennent d’une autre vie.
    Une soudaine tension raidit ses épaules et Phil entreprit de les masser pour le calmer.
    - Ecoute mon ange, je sais que tu es épuisé par ton travail et par les enfants, et que c’est difficile pour toi, mais il faut tenir le coup! Nous nous devons d’être forts pour eux, souviens-toi de ce que nous avons du faire pour obtenir le droit de les adopter!
    Frédéric soupira, les nerfs tendus à se rompre.
    Phil venait de sortir l’argument infaillible mais il avait raison, il ne devait pas oublier les sacrifices et les épreuves qu’ils avaient du endurer pour avoir ces petits monstres.
    Certes à cette époque, ils avaient voulu des enfants à n’importe quel prix et s’étaient battus bec et ongles pour obtenir leur garde, mais depuis, Frédéric sentait comme un essoufflement dans leur couple et cela l’effrayait.
    Ils avaient adopté successivement Camille, Slimani et Lichan, et leurs avaient apporté toute leur énergie, tout leur temps libre et tout leur amour, sans jamais se rendre compte que ce don permanant de soi les éloignait l’un de l’autre, mettant en danger l’équilibre de leur couple.
    Au cours de ces trois dernières années, où tout n’était destiné qu’au bonheur de leurs enfants, ils en étaient venus à oublier ce qu’était la passion des premiers jours et l’insouciance des premières amours tout comme la sensation de bien être et liberté qu’elle prodiguait.
    Ils sentaient l’un et l’autre, que rien n’allait plus entre eux et qu’il leurs faudrait vite apporter un changement radical dans leur vie s’ils ne voulaient pas perdre le peu qu’il leur restait.
     
    - Hey! Hé ho, mec! Réveille-toi! La Terre appelle la Lune!
    Clignant fébrilement des yeux, Frédéric revint à la réalité lorsqu’il entendit la voix moqueuse de son frère résonner à ses oreilles.
    Mécontent de s’être fait surprendre en train de rêvasser au travail, il fusilla Anton du regard, sachant pertinemment qu’il n’aurait pas le même effet sur son cadet que sur ses enfants.
    Les enfants.
    Il ressentit un petit pincement de contrariété au niveau de l’estomac à cette pensée.
    Bon sang!
    Ne pourrait-il donc jamais régler ce problème?
    Anton, qui n’avait rien loupé du combat intérieur qui se déroulait en son frère, posa une fesse sur le rebord de son bureau et le scruta avec intensité.
    - Ecoute frangin, je ne sais pas grand-chose des problèmes de couples homosexuels mais….
    - Comme si tu savais quoi que ce soit sur les problèmes de couple tout court Anton.
    Anton continua comme s’il n’avait pas été coupé.
    - Mais je pense que Phil et toi devriez prendre un peu de temps pour vous ressourcer. Ca va bientôt faire quatre ans que vous n’avez pas eu une minute à vous Fred! Je ne sais pas comment vous réussissez encore à tenir!
    Frédéric observa son frère avec intensité.
    - Qu’est-ce qui te fait croire que Phil et moi avons des problèmes Anton?
    Le cadet sourit de toutes ses dents.
    - Pas compliqué du tout frérot, tu ne sais pas cacher tes émotions! Et pour être honnête, tu fais la même tête que papa faisait lorsque maman et lui ne s’entendaient plus.
    Agacé d’avoir été deviné, Frédéric grogna dans sa barbe pendant de longues minutes, puis ne supportant pas le regard railleur et victorieux de son frère, se décida à vider son sac.
    - Oui, c’est vrai tu as raison! Phil et moi avons des soucis, voilà! On arrive plus à avoir de gestes tendres l’un vers l’autre ni à avoir de relations sexuelles! Le problème vient principalement du fait que je n‘arrive plus à…enfin, tu vois…
    - A la lever ?
    - Ouais…ouais c’est ça, c’est bon maintenant, tu es content?
    La peine remplaça la lueur moqueuse dans les yeux du petit frère.
    - Non Fred, je ne tire aucun plaisir à te voir malheureux dans ton couple. Je t’avoue que Phil et toi m’avez surpris pendant toutes ces années, je croyais que cela ne durerait pas entre vous, mais il y a eu l’achat de votre maison, puis l’adoption des enfants… J’ai été bluffé, comme toute la famille d’ailleurs. Vous nous avez démontré que vous pouviez construire quelque chose ensemble malgré notre mauvaise conduite envers vous, alors j’estime que la moindre des choses est de vous aider à aller mieux.
    Un sourire malicieux étira les lèvres charnues d’Anton.
    - Tu es trop tendu frérot, trop stressé! Je pense qu’un peu de décompression vous fera autant de bien à l’un qu’à l’autre, et je sais exactement ce qu‘il vous faut. Laisse-moi faire…
     
    - Je n’arrive toujours pas à croire qu’Anton ait fait ça!
    Phil faisait les cent pas dans la cuisine.
    - Il lui est déjà arrivé de garder les enfants, et encore, ce n’était que pour des cas exceptionnels et pour moins longtemps qu‘un week-end, mais là! Les prendre pendant toute une semaine? Comment va-t-il faire pour se débrouiller seul avec trois gosses? Impossible que la famille s’y mette, c’est perdu d’avance! Il est tombé sur la tête ou quoi?
    Frédéric gloussa doucement devant l’incompréhension de son amant. Laquelle incompréhension faisait écho à la sienne, car lui non plus ne comprenait pas ce brusque revirement de situation.
    Quelques jours après leur discussion, Anton avait brusquement décidé de convoquer la famille au bureau de l’entreprise familiale pour un conseil express auquel Frédéric n’avait pas pu assister, étant absent pour cause de rendez-vous avec un client.
    Bien sûr, il ne connaissait pas le contenu de cette réunion, mais elle avait eu le mérite de tous les faire revenir sur leurs positions, un exploit dont il n‘aurait jamais cru son frère capable. Bien sûr, il le soupçonnait de l’avoir fait exprès afin de le laisser devant le fait accompli, mais ne pouvait s‘empêcher de ressentir une profonde gratitude à son égard. Une semaine sans les enfants était une aubaine pour leur couple, et elle se devait par conséquent d‘être…mémorable.
    Phil et lui disposaient donc d’une semaine entière pour se redécouvrir et accorder à l’un et à l’autre l’attention qu’ils se devaient, et Frédéric comptait bien en profiter dès maintenant.
    - Non mais vraiment, je ne comprends pas pourquoi il… Fred? Mais que… Hum!
    Il s’était approché de son amant alors qu’il parlait encore, avait relevé son menton de son index et avait envahit sa bouche d’un baiser doux, profond et sensuel, bien différents de ceux qu’il lui donnait le matin avant de partir pour le travail.
    En dominant incontesté, il glissa un bras décidé autours de la taille de son homme et plaqua son corps contre le sien, appréciant les frissons qui le parcouraient.
    Puis il enserra sa nuque de son autre main, afin d’approfondir leur baiser qui n’avait plus rien de doux, mais tout de passionné.
    La réaction de Phil ne se fit pas attendre, sont corps en entier se mit à vibrer d’une passion sans nom et il agrippa les fesses de son amour, les caressant avec une ferveur nouvelle teintée d’érotisme, frottant son bas-ventre au sien avec vigueur.
    Leurs langues se nouaient et se dénouaient tandis que leurs corps tendus par l’excitation cherchaient leurs place par rapport à l’autre, se moulaient, et s’emboîtaient à la perfection.
    Phil gémit, suffocant tout d’un coup de joie lorsqu’il senti quelque chose durcir contre sa cuisse.
    Incrédule et ravi, il donna un léger coup de bassin pour vérifier que ce qu’il sentait n’était pas une hallucination, mais son allégresse n’en fut que plus décuplée lorsqu’il perçut le gémissement étouffé de son homme.
    Frédéric bandait!
    Submergé de bonheur et au bord de l’asphyxie, il éloigna ses lèvres afin d’aspirer une grande goulée d’air, mais elle se bloqua dans sa gorge lorsque son regard rencontra celui chaviré de désir de Frédéric.
    Alors, sous l’impact de cette puissante vision érotique, ses genoux tremblèrent et flanchèrent.
    Le bras protecteur de Frédéric le rattrapa et il le porta jusqu’à la chambre, où il le déposa doucement sur le lit avant de commencer à le déshabiller.
    Dans un sanglot de joie, Phil murmura:
    - Tu bandes mon amour!
    Frédéric se déshabilla à son tour, exposant sa virilité triomphante au regard gourmant de son amant, puis une fois nu, le rejoignit sous les draps.
    - Oui je bande, mon ange, et crois-moi, cette fois-ci je compte bien te satisfaire…
    - Mais comment c’est possible? Enfin je veux dire…
    - Je n’en sais rien, c’est peut-être parce que je sais qu’aucun de nos enfants ne va surgir dans notre chambre pour nous interrompre…
    Frédéric sourit, repoussant une mèche de cheveux sur le front de Phil.
    - Maintenant laisse-moi prendre soin de toi.
    - Han….Oui… Fais-moi me sentir bien….
    Les lèvres de Frédéric étaient partout, au creux de son cou, sur sa poitrine, le long de son ventre et de ses cuisses, entre ses jambes et sur son pénis tendu de désir, régnant sur lui, audacieuses et inquisitrices.
    Sa langue traçait les plus audacieux parcourt, taquinant son gland et suçant sa peau avec gourmandise, s’enfouissant entre ses fesses pour l’explorer avec agilité.
    En proie à un orgasme dévastateur, Phil avait cessé de compter le nombre de fois où il avait joui en criant son plaisir, répandant sa semence entre les draps, serrant le tissu entre ses doits crispés.
    - Mon amour…
    Les joues rouges et le regard humide, il écarta les cuisses à cette douce supplique, laissant Frédéric s’installer entre elles et l’enlacer doucement. Il les referma sur lui, l’emprisonnant tout contre lui dans sa chaleur brûlante, gémissant de l’envie pressante d’être prit.
    - Que tu es beau… Je t’aime tellement…
    Frédéric le pénétra lentement, s’appliquant à y mettre tout son amour et toute la douceur possible afin de se faire pardonner pour toutes les fois où il n’avait pas pu satisfaire son amant.
    Il avança graduellement pour ne pas lui faire mal, résistant à l’obsédante envie de jouir, et lorsqu’il parvint au plus profond de lui, il se fit violence et attendit que Phil lui dise de bouger.
    Touché de tant d’attention, Phil se força à se détendre au maximum et bougea légèrement des hanches.
    Lorsque son homme commença à aller et venir en lui, il serra les dents sous la douleur, étonné de voir qu’il était devenu si étroit avec le temps, et s’efforça de respirer et de rester calme.
    Ils allaient lentement, doucement, leurs bouches soudées et leurs yeux fixés les uns aux autres, mais bientôt, Phil en voulu plus. Il était prêt à recevoir d’avantage et d’un coup de bassin, fit comprendre à son amant d’accélérer la cadence.
    Alors Frédéric plongea en lui, libérant sa passion et son désir, possédant son corps avec une frénésie qu’il ne se connaissait pas mais qui le grisait.
    - Oh mon amour… Oui… Plus fort!
    Exalté, Phil s’agrippait à ses épaules, mouvant ses hanches au même rythme que les siennes, gémissant puis hurlant son plaisir au creux de son cou.
    Frédéric jouit au plus profond de son corps après un dernier coup de reins et s’abattit avec son amant sur les draps.
    Etroitement enlacés et groggy de bonheur, les deux amants s’embrassaient doucement, savourant avec délices ce début de semaine qui commençait plus que bien.
     
    - Papa! P’pa! Vous nous avez manquééééé!
    - Ouiii! On croyait qu’on vous reverrait jamais!!
    - Voyons les enfants, on vous avait dit une semaine!
    - Mais c’est long une semaine! En plus tonton Anton, pépé et mémé voulaient pas qu’on vienne vous voir!
    - Tonton Anton et les autres avaient raison Camille.
    - Haaan! Bah si c’est comme ça, moi j’veux plus y aller moi chez tonton!
    - Ma crevette, ce n’est pas toi qui décide. Merci encore Anton, sans toi, je ne sais vraiment pas ce que j’aurais fait! Tu as accompli un véritable tour de force mon vieux!
    - Mais P’pa, il est pas vieux tonton!
    - Je sais mon chéri.
    - Bah pourquoi tu dis ça alors?
    Frédéric soupira.
    - Pour rien. Allez, maintenant tout le monde en voiture.
    - Ouaiiis!
    Laissant Phil attacher les enfants dans les rehausseurs, Frédéric se tourna vers son frère, intrigué.
    - Hey frangin, je serais très curieux de savoir ce que tu as bien pu dire à la famille lors du conseil. Jamais encore ils n’ont accepté de faire ce qu’ils ont fait, chaque fois que j’avais besoin d’eux, je me heurtais à un mur de refus! Et en plus je suis sûr que tu as fait exprès de les convoquer un jour où je ne pouvais pas être présent!
    Un sourire espiègle étira les lèvres d‘Anton.
    - Okay, je suis démasqué! Mais tu peux toujours courir pour savoir ce que je leur ai dit! Sache seulement que ma tchatche de vendeur et mon charme légendaire ont beaucoup joué!

    « Une bien étrange histoire...Ton ombre à la fenêtre »

  • Commentaires

    1
    moonlight
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:23

    c'est mignooooon!!!!!!!!!ah...les enfants^^

    2
    ionion
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:24

    trop magnifique <3

    3
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:24

    Charme naturel ??? Heu, c'est un sous-entendu ou c'est mon esprit pervers qui me joue des tours?

    Ah, les enfants, c'est vraiment casse-pied Langue ! Mais ze veux la suite de TMA, moi!!

    4
    Wolf__
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:25

    Héhé il est super bien ! Ca met un peu de bonne humeur après TMA !
    C'est cout mais très mignon, même si moi aussi j'aurai bien aimer savoir ce qu'a dit Anton XD Enfin bon les vendeurs, il te ferait acheter tout et n'importe quoi XD
    J'attends les autres OS avec..... impatiente oui ! XD Et biensur les suites de tes fictions !

    5
    laliepetiteangel
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:25

    hihi c mimi! jai adoré comme toujours dailleurs! =)

    6
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:26

    ah les gosses... Cet OS m'a bien amusé, surtout le titre XD. ^^

    7
    HaruMeuh
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:27

    * déjà... on est tout de suite dans une ambiance "bon enfant" XD j'aime !

    * ses grands yeux curieux le vol d’un petit papillon égaré >>> ça promet XD espérons qu'elle deveinne pas blonde avec ça ^^"

    * mais le départ se compliqua lorsque Lichan refusa de le lâcher. >>> voilààààà XD

    * les enfants avaient déjà dîné, été baignés et dormaient à présent à point fermé >>> pfiouuuuu XD

    * j’ai l’impression qu’ils viennent d’une autre vie. >>> faites des gosses :'

    * Frédéric sentait comme un essoufflement dans leur couple et cela l’effrayait. >>> je ne vous connais que depuis quelques lignes mais à moi aussi ça fait peur :'

    * tu fais la même tête que papa faisait lorsque maman et lui ne s’entendaient plus. >>> sympa la référence XD

    * - A la lever ? >>> oh mince :s

    * Les prendre pendant toute une semaine >>> ça sent le coup foireux XD

    * elle se devait par conséquent d‘être…mémorable >>> allez y, impressionnez nous *_*

    * bien différents de ceux qu’il lui donnait le matin avant de partir pour le travail. >>> normaaaaal il a pas le temps XD

    * Frédéric bandait! >>> HOURRAAAAAAAAAAAA !!!!!!!! \o/

    * - Tu bandes mon amour! >>> mais ouiii on vient de le dire !!!

    * - Mon amour… >>> trop mignooooon ><

    * quelle complicité :o je suis admirative !!!!

    * Sache seulement que ma tchatche de vendeur et mon charme légendaire ont beaucoup joué! >>> maiiiiis jveux savoiiiiiir ><

    8
    Crevette Orientale
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:27

    Que dire?...Si ce n'est loué les talents de notre chère Raton laveuse!XD

    Un charmant petit couple,des plus attachant et trois adorables Bambins,hihihi!!!"
    "A la lever ?" Il est trop le frangin!XD

    En attendant ils ont réussis à avoir une nuit d'amour plus que satisfaisante,que de passion!!!

    Et chacuns y trouve son compte,même la famille se montre plus compréhensible...hihi

    Magnifique!!!Je suis fan Sourire

    9
    Lyhrra
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:28

    ^^
    Super !
    Avec trois enfants en bas âge, c'est sûr que ça doit être compliqué !! ils en ont de la patience !!!!!! En tout cas c'est mimi tout plein ^^
    Il leur a dit quoi Anton ?????????!!!!!!!!

    10
    Myuka
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:28

    Hanw... je sais pas pourquoi mais j'aime toute tes OS .. Le titre est bien bizarre mais par la suite on comprend pourquoi xD Bon, sinon, tout le monde veut savoir ce qu'a dit Anton à la famille alors... j'espère que tu nous le diras un jour x)

    11
    Inko
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:28

    Os que je relis avec plaisir. Un couple très attachant et les gamins aussi.

    12
    Great~Lunatic
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:29

    Ce couple est charmant ! smiley_id119154 Les bambins aussi mais 'sont plus chiants quand même xD
    Les répliques d'Anton m'ont smiley_id239887, de rire bien sûr ! XD
    ("Frédéric bandait! [...] Tu bandes mon amour!" Enfiiiin ! smiley_id239905 Hallelujah !)
    Encore un OS bien sympathique
    Bonne continuation :3

    13
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:30

    Très bel OS ! j'aime beaucoup ta façon d'écrire, tout en simplicité ! C'est simple, fluide et agréable Sourire

    Quant à l'histoire, je l'ai trouvée vraiment très belle ! Sans prise de tête, tu montres parfaitement la vie de couple et la difficulté que cela peut représenter d'avoir des enfants en bas âge et surexcités !! Rire

    La relation entre Phil et Frédéric est vraiment trop chou ! Vraiment, ils sont adorables ! Complices et affectueux l'un envers l'autre, c'est juste trop mignon !

    Vraiment, bravo pour cet os ! C'est la première histoire que je lis de toi, et crois-moi, ça m'a vraiment donné envie de découvrir les autres Rire

    je te souhaite une bonne continuation,

    amicalement
    bleuindigo

    14
    Great~Lunatic
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:30

    Je relis le texte et c'est fou, la scène où Phil fait bander Frédéric me rappelle un chapitre de Haru wo Daiteita smiley_id239886
    Toujours aussi bien !
    Bonne continuation

    15
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:31

    C'est trop chou comme prénom Lichan *o* Aurais-tu un don pour en trouver de forts beaux ? Rire
    Sinon comme prévu, je fais mon come back chez toi, en laissant une trace cette fois ^^ 3 enfants ce n'est pas de tout repos, ils ont bien du courage ces 2 là ! J'ai bien aimé le personnage du frangin, il a quand même un rôle important dans l'histoire (tu sais ce qu'il leur a dit aux autres ... ? o_o).
    'Fin bref, bravo pour cet OS bien dosé en mignonnitude (je sais ce mot n'existe pas) et en sexytude (cf remarque sur le mot précédent xD) !

    16
    Erisdar
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:31

    j'ai cliqué sur " ton ombre a ta fenêtre " et je suis arrivé sur cette histoire, très bien d'ailleurs mais ya quelque probleme de renvois de lien sur le sommaire >_< pour " photo " aussi d'ailleurs, ca renvois sur trois autre fictions

    17
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:33

    Merci Erisdar! Le problème technique est réglé! Rire

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