• Le Peintre - Partie 2

    Deux ans plus tard.
     
    - Osaki-sama, un homme désire s’entretenir avec vous, dois-je le laisser entrer?
    - Comment s’appelle-t-il?
    - Il n’a pas daigné me le dire.
    - Très bien faites-le entrer.
    Après quelques minutes, Hirumi Sakoto, ma secrétaire personnelle, l’a fait entrer.
    Je n’ai pas tout de suite vu de qui il s’agissait, car j’étais tourné vers l’immense baie vitrée de mon bureau, observer la vue panoramique qu’elle m’offrait sur la ville de Tokyo m’émerveillais toujours autant.
    - Mes enseignements t’ont bien servis à ce que je vois. Tu es comme un coq en pâte, presque aussi riche que moi!
    Si je n’avais pas déjà été assis, je serais tombé sur les genoux.
    Alfonso Debrezzi.
    Le seul homme que j’ai jamais aimé.
    Il était ici, dans mon bureau.
    - Qu’est-ce que tu veux?
    - Ce n’est pas très poli de parler aux gens en leur offrant leur dos pour vis-à-vis!
    - Bizarre, c’est exactement ce que je me suis dis, il y a deux ans.
    J’ai fais mouche, car il n’a rien rétorqué.
    Deux ans.
    Deux longues années passées à tenter d’oublier ce rustre et au moment où j’y arrive, il revient me hanter jusque dans mon pays! Le pays où il avait juré à tous les saints de la Création qu’il ne mettrait jamais les pieds!
    - Qu’est-ce que tu veux?
    - Te parler.
    Me parler.
    Ce salaud voulait me parler!
    Déjà passablement énervé, j’ai fait pivoter mon fauteuil pour retrouver face à lui.
    J’aurais dû m’y attendre, mais le choc a été plus difficile à encaisser que je l’aurais cru.
    Il n’avait pas changé d’un iota, à part peut-être de légères rides mais elles lui allaient plutôt bien, elles lui apportaient une certaine distinction.
    Il avait toujours les mêmes beaux cheveux blonds, les mêmes yeux d’un brun fondant, et cette bouche…
    J’ai fermé les yeux.
    Cette bouche qu’il y a deux ans j’ai à peine eue le temps de savourer, revenait me harceler, combien de mauvais rêves n’avait-elle pas peuplé? Combien de tourments ai-je enduré avant de l’oublier?
    Et la voilà qui revenait me narguer, étirée par un sourire!
    - Je voudrais m’excuser, pour tout ce que je t’ai dis de malheureux ce jour-là, je…je ne le pensais pas.
    - Tu ne le pensais pas? Et à quoi pensais-tu donc? Que j’étais un jeune et mignon puceau qui ne connaissait rien à la vie et qui cherchait à y mettre un peu de piment, hein? A faire de nouvelles expériences inédites, et que, pour que ce soit parfait, qu’il le fasse avec son professeur, très célèbre de surcroît?
    - C’est…hum…c’est à peu près ça…à peu de détails près.
    - A peu de détail près…
    Je n’étais plus en colère, mais simplement vidé. Je me suis levé de mon fauteuil pour poser mon front brûlant contre la vitre glacée. Je me brisais à nouveau, je n’arrivais pas à croire que l’homme que j’avais aimé - et aimais toujours - ai pensé cela de moi, et encore, peut-être le pensait-il toujours…
    La tête posée contre la vitre, j’ai marmonné:
    - Tu n’es qu’un putain de connard!
    - Je te demande pardon?
    Je me suis tourné vers lui, les poings serrés.
    - Tu n’es qu’un putain de connard!
    J’en pouvais plus, il fallait que ça sorte ou j’allais exploser.
    - Espèce de salaud, t’as toujours su ce que je ressentais pour toi, je suis sûr que tu le voyais dans chacun des gestes que je faisais, dans chacun des mots que je prononçais et dans chacun des sourires que je t’ai adressé! Tu le savais! Tu le savais et tu en à joué, pire même, tu t’en es moqué!
    Je ne tenais plus en place, il fallait que je bouge, je faisais les cent pas comme un lion en cage.
    - J’ai passé deux ans! Deux putains d’années de merde à essayer de t’oublier, d’oublier les sentiments que j’ai pour toi mais je n’y suis jamais vraiment arrivé. Je te voyais partout, sur les posters, à la télé, même sur les visages des hommes que je baisais, merde! J’ai souffert le martyre pendant toutes ces années et là tu arrive comme une fleur dans mon bureau pour me narguer et…
    Je n’ai pas eu le temps de terminer ma phrase, car une bouche impatiente s’est emparée de la mienne dans un baiser dévorant, brûlant et dévastateur.
    Mon corps n’a pu que réagir devant une telle passion, et une érection s’est rapidement formée dans mon pantalon, durcissant mon bas-ventre et enflammant mes reins.
    Sans interrompre le baiser, Alfonso a glissé une jambe entre mes cuisses pour les écarter et y placer son bassin, plaquant son pénis durci contre le mien, le frottant doucement mais avec fermeté. J’ai gémit comme une pucelle à ce contact, c’était si bon! Sentir ses lèvres, son parfum, son corps! Et son souffle sur ma peau qui m’effleurait comme une caresse me faisait perdre les pédales. Cette sensation de plaisir et de douleur dans mon pantalon qui se mêlait à la douceur de sa langue, à faillit me faire jouir.
    Sans prévenir, il a débouclé ma ceinture et une fois mon pantalon descendu aux chevilles, il s’est écarté de moi et m’a pris en bouche. Sous le choc, j’ai presque jouit immédiatement, mais il n’a pas cessé ses mouvements pour autant, m’offrant une seconde chance d’apprécier cette douceur.
    Je me suis laissé aller dans un long gémissement de plaisir, la tête chamboulée et le cœur en pagaille.
    Qu’avions-nous fait?
    Lorsqu’il s’est redressé pour m’embrasser, j’ai détourné la tête.
    - Qu’est-ce qu’il y a?
    Je l’ai fusillé du regard.
    - Qu’est-ce qu’il y a? Tu me demande ce qu’il y a? Je vais te le dire moi ce qu’il y a! Il y a que tu ne peux pas espérer que je vais revenir vers toi comme ça et faire comme si rien ne s’était passé! Et ce n’est pas avec une pipe, aussi géniale soit-elle que tu vas effacer deux années de souffrance comme ça!
    J’allais continuer mais il m’a interrompu, un doigt posé sur mes lèvres.
    - Tu jacasses plus qu’une pie pendant la saison des amours, laisse-moi parler aussi. Tu m’insultes beaucoup et je le mérite en partie, mais tu ne sais pas tout. Il y a deux ans, lorsque tu as entrepris des études aux Beaux-arts, je t’ai pris sous mon aile, d’abord à la demande de ton père qui est un de mes amis proches puis, parce que j’avais décelé en toi un immense potentiel…
    - Que j’aurais pu exploiter si tu n’avais pas merdé!
    - Oui, aussi. Tu es donc arrivé chez moi, jeune, émerveillé, ignorant tout de la France et de ses coutumes, et par-dessus tout tu m’attirais, tu m’attirais irrésistiblement! C’était presque une torture de tous les instants lorsque tu étais près de moi, et c’était pire lorsque tu étais à l’école, je t’en voulais d’être là-bas au lieu d’être à la maison, je te voulais auprès de moi, avec moi tout le temps, mais j’ai eu peur, et tu sais ce qui en a découlé.
    Du bout des doigts, il a caressé mes joues, mes lèvres, j’ai frissonné.
    - J’ai eu peur de te perdre, et j’ai eu peur de souffrir. Alors je ne t’ai jamais séduit, je n’ai jamais répondu à tes marques d’affection que part de l’amitié et même si j’avais deviné ton amour et ton admiration pour moi, jamais je n’en ai profité, je t’aimais trop, je t’aime trop pour ça.
    Les larmes ont débordé de dessous mes paupières que j’avais gardées closes pour essayer de les retenir. Mais peine perdue, elles ont coulé, silencieuses, douloureuses.
    - Tu étais jeune, je ne l’étais presque plus, j’approchais de la trentaine, j’avais peur qu’un jour si nous formions un couple, tu ne finisses par te lasser de moi et me quitter pour un autre. Alors j’ai utilisé la seule excuse qui pouvait être utilisée pour un artiste aussi réputé que moi…
    - L’Art…
    - Oui, l’Art, j’ai utilisé mon don le plus précieux, pour servir mes desseins les moins nobles, en voulant éviter de souffrir, j’ai causé ma propre perte. Ce jour-là tu es partis, et je n’ai pas tenté de te retenir, croyant que pour notre bien à tous les deux, c’était mieux qu’il en soit ainsi. Malheureusement, le sort s’est retourné contre moi, et j’ai souffert moi aussi de la décision que j’avais prise pour justement ne pas souffrir! Imagine-moi qui m’étais fais juge puis condamné! Ta déclaration et tes baisers me harcelaient sans cesse, ils étaient comme une litanie qui cognait contre les parois de ma tête et envahissaient mes rêves. Je t’ai cherché, longtemps, puis j’ai fini par te retrouver ici, dans cette fabuleuse galerie d’art, l’une des meilleures de Tokyo! Je me suis sentis tellement fier Mira, tellement fier à l’idée d’avoir contribué à ce que tu as battis en si peu de temps, c’est un vrai miracle!
    Mon cœur qui n’était plus qu’une immense plaie depuis notre séparation guérissait comme par magie. Les mots d’Alfonso pleuvaient sur moi dans une averse bienfaisante qui faisait disparaître tous mes maux. Ainsi il m’avait toujours aimé l’idiot! Je lui aurais donné des gifles!
    - Mais si cette galerie existe, c’est grâce à toi. Pendant deux ans, je me suis plongé dans le travail pour t’oublier, mais tout ce que j’ai réussi à faire c’est me rapprocher toujours un peu plus de toi, car inconsciemment, chaque pierre que j’ai édifiée c’était pour toi, pour te remercier de ce que tu m’avais appris, pour te montrer que je t’aimais toujours…
    - Mira…
    Le baiser qui a ensuite uni nos lèvres était plus tendre encore que le premier que nous avons échangé dans le jardin de la villa ce doux matin d’hiver. Son étreinte était encore plus chaude et parfumée, sa voix et sa langue encore plus envoûtantes.
    Nos cœurs battaient d’un même rythme lorsque nos lèvres se sont séparées.
    - Nous voilà enfin réunis.
    - Oui mon ange, je suis venu te reprendre et plus jamais je ne te laisserais partir.
    - Mmmh…Il y a tout de même une petite chose que je voudrais savoir. Qui était le type endormi sur ton canapé ce jour-là?
    Il a cessé ses baisers dans mon cou et m’a regardé droit dans les yeux.
    - C’était un de mes coups d’un soir, à l’époque, j’essayais de canaliser mes pulsions ailleurs pour éviter de te sauter dessus… Si j’avais su.
    Il a reprit ses baisers mais s’est vite arrêté.
    - Moi aussi j’aimerais savoir deux ou trois trucs. D’abord, où donc as-tu appris à parler avec un tel langage de charretier? Ensuite aimais-tu les hommes avant de me connaître? Et qui sont les hommes dont tu parlais?
    Mon sourire est devenu si large qu’il devait faire deux fois le tour de ma tête.
    Alfonso était jaloux et cela me faisais frissonner de plaisir!
    - Pour répondre à tes questions, de un: j’ai toujours parlé ainsi mais à l’époque je te respectais trop pour te dire ne serait-ce qu’un « crotte », de deux:  je crois que j’ai toujours aimé les hommes mais que tu as été l’élément déclencheur, d'ailleurs tu l’es toujours, et de trois:  je te parlerais peut-être un jour de mes conquêtes mais sache que j’ai fais pas mal de bêtises quand tu m’a rejeté. Moi aussi j’ai eu une vie après toi!
    Il a rit, son rire était le même, toujours aussi beau et mélodieux.
    - Ne t’en fais pas maintenant que l’on s’est retrouvé, on a tout notre temps pour se raconter nos exploits!

     

     


     

    Billet :

    Hem.. Alors celui-là, j’avoue ne plus me souvenir exactement des conditions ni du pourquoi de sa rédaction.
    Quand j’y réfléchis, tout ce qui me reviens, c’est que j’allais moyennement bien et qu‘il était environ 3 heures du matin. Mon humeur oscillait entre nostalgie et pensées plus ou moins contemplatives. Je ne sais plus d’où m’est venue cette inspiration sur la peinture, un maître et son élève. Peut-être d’un de mes cours de dessin suivit la veille? Ou alors, tout est partit d’une simple phrase? Une image à la télé? Je ne saurais vous dire.
    Je ne suis pas du genre a écrire des histoires tristes. Mais ce jour-là je voulais une fin qui ne soit pas heureuse, juste pour le plaisir de rédiger quelque chose de négatif, et de voir si j‘en étais capable. J’ai donc écrit une première version sans happy end.
    Mais chassez le naturel… Un peu plus tard, j’ai commencé à entrevoir une fin heureuse pour ces deux amoureux malchanceux, et j’ai fini par l’écrire puis la proposer. Elle est effectivement trop fleur bleue et sirupeuse comparée à la première partie - que je préfère d‘ailleurs, car plus sobre et réaliste - mais c’est comme ça qu’elle m’est venue. Je n’aimerais pas la modifier. Je n’en ai d’ailleurs pas envie.
    Il a fallut un peu plus d’une année pour que la condition de la publication de cette « suite » soit remplie, soit 10 commentaires de lecteurs différents.

    « Le Peintre - Partie 1Au Septième Ciel »

  • Commentaires

    1
    Ionion
    Lundi 9 Décembre 2013 à 22:54

    Archi biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiien =D

    2
    Moonlight
    Lundi 9 Décembre 2013 à 22:54

    J'aime bien avec, et j'aime bien sans ^^

    bravo mademoiselle! Et amuses toi bien à ta fête!

    3
    Lundi 9 Décembre 2013 à 22:55

    Olala mais je me souviens plus du débuuuuut!! Et là je pas le temps, bon je te bookmarque et je lis (et relis) tout ça plus tard en te donnant mon avis =P

    4
    Lundi 9 Décembre 2013 à 22:55

    Hop là voilà j'ai tout relu =D

    (juste une petite remarque: putain y'a un A (oui c'est un gros mot mais quand même Rire) et gifle y'a qu'un seul F)

    Alors franchement j'ai bien aimé qu'ils se retrouvent et tout mais soit y'a trop de sexe soit y'en a pas assez. Je m'explique.
    La scène de fellation est toute seule là, perdue au milieu, ça fait étrange, pour moi il aurait fallu soit que ça aille un peu plus loin (pas forcément tout de suite et pas forcément pendant 30 ans non plus et pas forcément "la totale") ou que ça n'arrive pas du tout, en gros c'est un peu la scène en trop OU la scène trop courte.

    Mais sinon j'ai beaucoup apprécié la suite, ça va bien avec pour moi!
    C'est une bonne continuité (même si c'est arrivé très longtemps après Rire lol)

    Ah et puis joyeux anniblog! Première année de vie! \o/
    smiley_id147760

    5
    Elodie57
    Lundi 9 Décembre 2013 à 22:56

    Et mais Elodie57, c'est moi smiley_id239857!!! ça me fait plaisir de voir que je t'ai fait plaisir!!! Par contre, si j'avais su le résultat, jamais je n'aurais posté ce commentaire!! C'était vraiment nul!!!
    Mais non, je délire, Poisson d'Avril Surprise!!! En fait, j'ai vraiment adoré! C'est cool qu'il soit devenue directeur (?) d'une galerie d'art!! Comme ça, ça le rapproche de son amûûûr! Lol. Bisous

    6
    Elodie57
    Lundi 9 Décembre 2013 à 22:56

    J'ai oublié de dire que je préférais avec la scène. Pour moi, elle s'intègre parfaitement dans l'histoire. Toujours pour moi, Mira et Alfonso ont des caractères assez enflammés ce qui explique la scène de la fellation: ça fait 2 ans que Al rêve de Mira et là, il lui (en s'énervant) qu'il l'aime, donc Al lui saute dessus. Mais Mira, même s'il voudrait continuer, a tjs de la rancoeur contre lui et il veut des explications sur son comportement et non pas être juste une passade, alors il arrive à se contrôler (-->ne lui saute pas dessus, grand exploit!), ce qui prouve qu'il a grandi!!
    Bon si t'as pas tout compris, c'est normal, c'est juste moi ^^. Bisous, à bientôt sur TMA.
    Ps: smiley_id166421 JOYEUX ANNIVERSAIRE Le BLOG!!!

    7
    Lundi 9 Décembre 2013 à 22:57

    Bon alors j'ai beaucoup aimé ce OS et je sais que ce qui va suivre ne va pas plaire à tout le monde mais la suite, pour moi, n'était pas primordiale. Ca donnait, je trouve, une image très romantique de leur amour. Alfonso et Mira me paraissait passionnés autant par l'amour que par l'art. Il y avait aussi ce sentiment de fatalité, d'amour impossible et d'histoire sans fin. Je voyais Mira continuer de vivre malgré sa déception tout en gardant son premier amour au fond de lui, comme un doux souvenir. Mais la suite ça m'a un peu cassé mon trip. C'est très bien écrit je dis pas le contraire et c'est une très bonne suite mais bon comme je suis d'un caractère légèrement fataliste et très romanesque, je trouvais que la première partie n'avait pas vraiment besoin de suite. Leur retrouvaille est toute mignone et forte mais ça fait un peu plan-plan voilà. Je voudrais surtout pas me faire jeter des oeufs sur la tête XD mais je donne juste mon avis et j'espère que tu ne le prendras pas mal parce que c'est pas du tout mon intention. Je trouve juste, et ça encore ça n'engage que moi, que ça casse un peu l'histoire. Sinon j'adore lire tes histoires et j'espère que tu vas continuer encore longtemps à nous faire partager ton talent parce que c'est incotestable que tu en as un.

    8
    Lundi 9 Décembre 2013 à 22:57

    Sans hésitation, j'ai préféré avec ! C'est tellement mignon, comment peut-on préférer sans ? Quoique si, c'est faisable. Techniquement je préférais plus l'aspect froid de la personnalité d'Alfonso de la première partie que l'aspect "je me meurs d'amour pour toi" de la seconde mais, comme tu as choisi le point de vue interne de Mira, on a tendance à plus s'attacher à lui et à espérer qu'il soit heureux.

    9
    lay
    Lundi 9 Décembre 2013 à 22:57

    moi j'ai eu la chance de lire ces 2 parties d'un coup et du coup j'ai preferé avec la 2 ème partie ( romantique oblige)
    par contre je pense ( mais ce n'est qu'un avis personnel) que tu aurais pu developper la 2ème!
    sinon c'était une très bonne histoire!

    10
    Lundi 9 Décembre 2013 à 22:58

    Félicitations pour cette fiction.
    Le rythme est bien trouvé.
    ça donne envie d'en savoir davantage.
    Bravo.

    11
    scarlett moon
    Lundi 9 Décembre 2013 à 22:58

    salut ,mignonne cette fic!!je prefere les fictions qui finisse bien!Rire

    12
    Great~Lunatic
    Lundi 9 Décembre 2013 à 22:59

    Mais c'est crès crès bien smiley_id239860 Je ne comprenais pas ce que tu entendais par OS trafiqué mais tu finalement, tu as bien fait de le trafiquer x) J'ai beaucoup appréciée la première partie et la deuxième a ajouté un sentiment de finition à l'OS (très bonne finition d'ailleurs >.0)
    Très bon texte donc et je trouve que ta plume est très bonne, élégante et ta façon de t'exprimer superbe ! Je viens de découvrir ce blog et je sens que je ne vais pas m'en lasser smiley_id239909
    Hey

    13
    Saki Hiôgahara
    Lundi 9 Décembre 2013 à 22:59

    J'aime bien deux ans auparavant ! je me disais, chouette une fin en suspens, on peut imaginer la suite comme on veut ! Oui je suis sadique, j'aime voir souffrir des personnages qui se déchirent etc etc etc

    Donc cette fin est plutot bien pour ceux qui aiment les happy ending gnian gnian smiley_id118875 mais j'ai trouver très chouette la petite scène de l'embouche smiley_id239883 Attention, je n'ai pas dit c'était mal écrit ou quoi que se soit de ce genre, mais j'aimerais bien voir une fiction qui se termine soit mal, soit comme la première partie =)

    Conclusion : première partie excellente, deuxième partie : bof bof

    14
    Inko
    Lundi 9 Décembre 2013 à 22:59

    Heureusement que tu m'as indiqué la suite je l'avais pas vu ^^. C'est mieux avec une fin qui fini bien !!!

    15
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:00

    Encore une belle histoire!
    Pour ma part, j'aime les histoires qui se terminent biensmiley_id239904
    A la fin de la 1ere partie, j'étais déjà entrain d'insulter le peintre de laisser partir Mira sans même un regard smiley_id239870
    Ca aurait pu se terminer comme ça, et comme d'habitude je me serais mis à imaginer la suite par des "s'il avait empêcher de partir..." smiley_id239859
    Alors bonne continuation smiley_id2385154
    Mais la 2e partie, donne des explications sur le pourquoi de sa "non réaction"
    Gentillet certes, mais j'adore les passages dégoulinants de sentiments smiley_id239875smiley_id239910
    Alors, je suis très contente d'avoir les 2 parties
    Et comme s'est toujours aussi bien écrits, je vais continuer de te lire smiley_id239892

    16
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:01

    Les deux sont super ^^ et puis tu écris super bien aussi ! Mais je crois que je préfère sans la fin parce que il y a tellement de fiction qui se fis sent bien que une exeption est agréable mais si elle reste frustrante x)

    17
    Cyssi87
    Lundi 9 Décembre 2013 à 23:01

    Les deux me plaisent beaucoup.
    Autant partir en claquant la porte permet au lecteur d'imaginer la fin qu'il désir, autant le 2ème n'est que ravissement, j'adore le passage où Mira lui parle 'méchamment'.
    Os mignon, et bien écrit. (en même temps j'aime ton style^^)

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